Voici quelques extraits recueillis dans le journal intime de Gote. Retrouvé près de son cadavre décomposé à un stade avancé, c'est un véritable voyage cosmique dans les méandres de sa pensée.
« Nouveau réveil, nouvel espoir. C'est avec la bouche pâteuse et un étrange parfum d’opprobre que je m'extirpe péniblement de mon lit. Je me dirigeais déjà vers la salle de bains lorsque j'entendis faiblement le son d'une voix. Féminine, heureusement ! Les souvenirs de la veille me revenant graduellement, je me suis retourné vers la professionnelle, alors emmitouflée dans les draps, laissant uniquement apparent son visage et le sein gauche. Elle semblait plus jolie hier, dans l'ambiance tamisée de ce bar malfamé. Tendrement, un sourire malicieux au coin des lèvres, elle répète "serre-moi encore"; je lui réponds "tais-toi et dors".
Retour à la salle de bains. Afin d'abreuver mes sens de vigueur, j'ouvre complètement le robinet d'eau chaude, ce qui a tôt fait de former dans la pièce une épaisse fumée blanche. Cerné par cette inquiétante barrière, je me suis longuement dévisagé dans le miroir, contemplant un pâle reflet que la buée tâchait de troubler. Cette journée du 3 Mai, je la vis et revis inlassablement. Pourtant, en 21 ans d'existence, jamais elle n'a été aussi proche d’être marquée par une victoire GeneRoussienne. »
« Toss : Ben ne connaît toujours pas les noms des deux tranches qui composent une pièce, mais qu’importe, puisqu’une fois encore le destin est avec nous. Après avoir précipitamment choisi notre côté du terrain favori, Ben est remis en place par Grono, qui lui fait remarquer qu’en raison de l’absence de soleil, nous ferions mieux de recevoir le ballon afin d’attaquer en premier. Quelle intelligence !
Ben se ressaisit et, à fond dans son rôle de vice-sous-co-capitaine, nous met en place pour la réception de l’engagement. Evidemment je suis sous-exploité, je me retrouve à un endroit où la balle ne tombera jamais, contrairement à Ben ou Max… Comme d’habitude, côté Sharks, c’est Matt qui s’occupe de tirer. Et magie du cinéma, c’est Ben qui réceptionne. Je m’en fous, je l’aiderai pas sur ce coup là. Qu’il aille pourrir sur la ligne médiane… la ligne des 40 alors… the thirty… the the the twenty… the ten… oh mon dieu Touchdown !!! (voir hymne des GeneRous, NDLR)
Personnellement, ce qui me plaît le plus dans un Touchdown, c’est le kickoff à suivre : le plaisir de prendre son temps, d'être vu et attendu de tous, celui d'être la Star éphémère du match. En revenant dans notre partie du terrain, Gil me balance le tee. Personne ne semble discuter l’indéniable : je tire ces putains de kickoff comme un dieu. Après avoir judicieusement placé le ballon et pris mon élan, je remarque Ben et Grono, chacun placé à une aile, prêt à bondir sur le futur receveur. Les idiots ! Prenant exemple sur mon modèle, Batman, je tirai alors de toutes mes forces, et, après un rebond, la balle sortit en Touchback.
Gote : 1. Les idiots : 0. »
« Superbe entrée en la matière pour les GeneRous. Mais malgré la confortable avance glanée au fil des minutes, on peut noter une certaine fébrilité. Peut-être un excès de confiance ? Quoiqu'il en soit, Max et Grono déconnent. Le premier s'est cru dans Madden®, et sa stupide danse d'avant-touchdown a laissé le temps à un adversaire de le rattraper à quelques inches de la end zone. Quant au second, il se permet de rater deux Catch faciles de débutant. Imbéciles ! Imbéciles ! Imbéciles ! »
« C'est la crise, mes kickoff partent en couille ! Je suis totalement démuni, Batman ne s'est jamais retrouvé dans une telle situation. Et comme si cela ne suffisait pas, voilà qu'en Quarterback égyptien je me fais intercepter à tous les coups. Les gars essaient de me remonter le moral, mais ils ne sont pas sincères. Ben, lui, est tout heureux de réussir la majorité de ses lancers; il n'ose même pas me regarder dans les yeux.
Mes maudites passes m'amènent dans une mauvaise passe, la spirale du déclin aspire à se déclarer, et seul Grono se trouve à mes côtés, me tapotant le dos d’un air salace. Quand je dis que c'est la crise...
Et voilà que je récupère le ballon sur une Inter. Enfin une éclaircie dans les ténèbres ? Pfff, c'était sans compter sur Matt, ce frère que je trimballe depuis des lustres, celui qu'on a tous accueilli à bras ouverts chez les GeneRous, et qui 'koum ça' nous a trahis. Depuis le début du match, il n'hésite pas à se jeter corps et âme dans la bataille, avec beaucoup d'insouciance. Et maintenant nous nous retrouvons face à face. Sans hésitation, en prenant 3 secondes de réflexion, je fonce vers lui tête baissée. Nous savons tous deux qu'il ne peut en rester qu'un. Ce sera lui ou moi. Lui ou moi. Non !! Alors que j'entrais en collision avec Matt, celui-ci esquiva un pas de côté en laissant traîner sa jambe, me basculant en avant, et du même coup me faisant entrer dans la 4ème dimension.
Je vis toutes sortes de choses pendant ces secondes qui parurent durer l'éternité : les figurants du match semblaient tous dévisager mon visage défiguré; des corbeaux unijambistes virevoltaient devant mes iris; Batman en tenue de latex se faisait corriger par Catwoman. Je tournais en continu, l'espace-temps semblait être une lointaine notion. J'étais persuadé que vu de l'extérieur, il aurait été bien difficile de discerner qui de la Terre ou moi-même gravitait autour de l'autre.
Puis, dans un grand fracas, tout s'immobilisa. La douleur commença d'abord au genou gauche, pour ensuite remonter au thorax, et s’étendre le long de mon nerf phrénique. Autour de moi, les gens s'excitaient, cabriolaient, certains criaient au scandale, d'autres composaient déjà le 911. Enfin, le mot fut lâché : salto. »
« Ils ont voulu la play comme ça, on va se la jouer like this. Je passe in the line, pour destroy the QB. And it works ! Two times, j'arrive à sacker violemment ce fucking bitch. Pendant ce temps, l'équipe tourne à full régime, and Max pose d'huge problèmes aux linemen adverses. Tiens, Gil juega dans la même équipe, je viens juste de m'en bemerken. »
« Le match est terminé, encore une fois nous avons gagné. Les sirènes peuvent partir, les anges accourir. Je suis seul dorénavant, dans notre endroit de prédilection, à attendre. A t'attendre. Mon esprit persiste, mais le corps meurtri dont je suis prisonnier agonise, alors laisse donc ma carcasse endolorie pourrir quelques instants. Ne me réveille que si le devoir m'appelle. En patientant, je suis paisiblement chez moi, chez nous. Calme et tranquille. »
Trêve de blablaterie. Les GeneRous, composés pour l’occasion de Ben-Gil-Gote-Grono-Max-Queue d’Cheval-Thierry, ont pulvérisé leur ennemi de toujours, les Sharks, sur le score sans appel de 55-13. Les GeneRous signent là leur record du nombre de points inscrits lors d’un match, et le 2ème plus gros écart de points. Applaudissons-les à une main.
Le match, comme l’attestent les ressentis de Gote et sa folie suite au crash face à Matt, a été rude. Si rude qu’il trônerait probablement au royaume des matches les plus virils. Néanmoins, la Fédération Pharisienne de Football© sollicite l’attention de Matt concernant les dangers de ses agissements. En effet, elle souhaiterait rappeler que les licenciés, dans la plupart des cas, ne disposent d’aucune protection, ni protège-dents, ni Batarang. Son comportement étant inapproprié et désagréable, il lui est donc demandé de réviser (et non de diminuer) son engagement physique. Merci canard.
Pour finir sur une bonne note, je voudrais souligner un point : la défense des GeneRous. Elle a été excellente, enchaînant harcèlements, pressions et interceptions comme rarement. Pendant 10 minutes, ils ont presque frôlé le nirvana, tant la cohésion de l’équipe défensive sublimait le Field. Un grand bravo à eux, ainsi qu’aux Sharks, qui ont su tout de même ne jamais capituler.
Prochain rendez-vous : vendredi 8 Mai. Les Sharks appellent au sang et au sacrifice. Quant aux GeneRous, ils emmerdent les dieux et ne demandent que le beau jeu.
Stats (approved by FPF©)
Ben – 2 TD, 5 Pass TD, 1/2 FG
Un début en fanfare, des passes précises (malgré une qui fut interceptée), un pied toujours hésitant : le QB a fait tranquillement un match de merde.
Gil – Bloqué 1432 gens
L’autiste de service a bouffé du linemen comme on sniffe une ligne de coke. Marrant, à défaut d’être efficace.
Gote – 1 TD, 1 Inter, 2 Sack, 0/1 FG
2 Touchbacks, mais surtout le record de 2 passes interceptées sur 2 passes tentées, grâce à son brevet déposé du lancer Hélicoptère. Un must.
Grono – 3 TD, 3 Inter, MVP (disapproved by FPF©)
Le retour en forme du Wide Receiver, qui a défendu ‘en spectacular’ sur Matt. Détruit psychologiquement par ses 2 Catch ratés.
Max – 2 TD, 3 Inter, 2 Sack, 2/3 FG
Joueur complet qui fait du bien/du mal par où il passe. N’a aucune autodérision, et déteste la liberté de la presse.
Queue d’Cheval – Forcené de la ligne
Thierry – Chinois polyvalent
Un raton-laveur fouineur est l’auteur des clichés suivants :
« Nouveau réveil, nouvel espoir. C'est avec la bouche pâteuse et un étrange parfum d’opprobre que je m'extirpe péniblement de mon lit. Je me dirigeais déjà vers la salle de bains lorsque j'entendis faiblement le son d'une voix. Féminine, heureusement ! Les souvenirs de la veille me revenant graduellement, je me suis retourné vers la professionnelle, alors emmitouflée dans les draps, laissant uniquement apparent son visage et le sein gauche. Elle semblait plus jolie hier, dans l'ambiance tamisée de ce bar malfamé. Tendrement, un sourire malicieux au coin des lèvres, elle répète "serre-moi encore"; je lui réponds "tais-toi et dors".
Retour à la salle de bains. Afin d'abreuver mes sens de vigueur, j'ouvre complètement le robinet d'eau chaude, ce qui a tôt fait de former dans la pièce une épaisse fumée blanche. Cerné par cette inquiétante barrière, je me suis longuement dévisagé dans le miroir, contemplant un pâle reflet que la buée tâchait de troubler. Cette journée du 3 Mai, je la vis et revis inlassablement. Pourtant, en 21 ans d'existence, jamais elle n'a été aussi proche d’être marquée par une victoire GeneRoussienne. »
« Toss : Ben ne connaît toujours pas les noms des deux tranches qui composent une pièce, mais qu’importe, puisqu’une fois encore le destin est avec nous. Après avoir précipitamment choisi notre côté du terrain favori, Ben est remis en place par Grono, qui lui fait remarquer qu’en raison de l’absence de soleil, nous ferions mieux de recevoir le ballon afin d’attaquer en premier. Quelle intelligence !
Ben se ressaisit et, à fond dans son rôle de vice-sous-co-capitaine, nous met en place pour la réception de l’engagement. Evidemment je suis sous-exploité, je me retrouve à un endroit où la balle ne tombera jamais, contrairement à Ben ou Max… Comme d’habitude, côté Sharks, c’est Matt qui s’occupe de tirer. Et magie du cinéma, c’est Ben qui réceptionne. Je m’en fous, je l’aiderai pas sur ce coup là. Qu’il aille pourrir sur la ligne médiane… la ligne des 40 alors… the thirty… the the the twenty… the ten… oh mon dieu Touchdown !!! (voir hymne des GeneRous, NDLR)
Personnellement, ce qui me plaît le plus dans un Touchdown, c’est le kickoff à suivre : le plaisir de prendre son temps, d'être vu et attendu de tous, celui d'être la Star éphémère du match. En revenant dans notre partie du terrain, Gil me balance le tee. Personne ne semble discuter l’indéniable : je tire ces putains de kickoff comme un dieu. Après avoir judicieusement placé le ballon et pris mon élan, je remarque Ben et Grono, chacun placé à une aile, prêt à bondir sur le futur receveur. Les idiots ! Prenant exemple sur mon modèle, Batman, je tirai alors de toutes mes forces, et, après un rebond, la balle sortit en Touchback.
Gote : 1. Les idiots : 0. »
« Superbe entrée en la matière pour les GeneRous. Mais malgré la confortable avance glanée au fil des minutes, on peut noter une certaine fébrilité. Peut-être un excès de confiance ? Quoiqu'il en soit, Max et Grono déconnent. Le premier s'est cru dans Madden®, et sa stupide danse d'avant-touchdown a laissé le temps à un adversaire de le rattraper à quelques inches de la end zone. Quant au second, il se permet de rater deux Catch faciles de débutant. Imbéciles ! Imbéciles ! Imbéciles ! »
« C'est la crise, mes kickoff partent en couille ! Je suis totalement démuni, Batman ne s'est jamais retrouvé dans une telle situation. Et comme si cela ne suffisait pas, voilà qu'en Quarterback égyptien je me fais intercepter à tous les coups. Les gars essaient de me remonter le moral, mais ils ne sont pas sincères. Ben, lui, est tout heureux de réussir la majorité de ses lancers; il n'ose même pas me regarder dans les yeux.
Mes maudites passes m'amènent dans une mauvaise passe, la spirale du déclin aspire à se déclarer, et seul Grono se trouve à mes côtés, me tapotant le dos d’un air salace. Quand je dis que c'est la crise...
Et voilà que je récupère le ballon sur une Inter. Enfin une éclaircie dans les ténèbres ? Pfff, c'était sans compter sur Matt, ce frère que je trimballe depuis des lustres, celui qu'on a tous accueilli à bras ouverts chez les GeneRous, et qui 'koum ça' nous a trahis. Depuis le début du match, il n'hésite pas à se jeter corps et âme dans la bataille, avec beaucoup d'insouciance. Et maintenant nous nous retrouvons face à face. Sans hésitation, en prenant 3 secondes de réflexion, je fonce vers lui tête baissée. Nous savons tous deux qu'il ne peut en rester qu'un. Ce sera lui ou moi. Lui ou moi. Non !! Alors que j'entrais en collision avec Matt, celui-ci esquiva un pas de côté en laissant traîner sa jambe, me basculant en avant, et du même coup me faisant entrer dans la 4ème dimension.
Je vis toutes sortes de choses pendant ces secondes qui parurent durer l'éternité : les figurants du match semblaient tous dévisager mon visage défiguré; des corbeaux unijambistes virevoltaient devant mes iris; Batman en tenue de latex se faisait corriger par Catwoman. Je tournais en continu, l'espace-temps semblait être une lointaine notion. J'étais persuadé que vu de l'extérieur, il aurait été bien difficile de discerner qui de la Terre ou moi-même gravitait autour de l'autre.
Puis, dans un grand fracas, tout s'immobilisa. La douleur commença d'abord au genou gauche, pour ensuite remonter au thorax, et s’étendre le long de mon nerf phrénique. Autour de moi, les gens s'excitaient, cabriolaient, certains criaient au scandale, d'autres composaient déjà le 911. Enfin, le mot fut lâché : salto. »
« Ils ont voulu la play comme ça, on va se la jouer like this. Je passe in the line, pour destroy the QB. And it works ! Two times, j'arrive à sacker violemment ce fucking bitch. Pendant ce temps, l'équipe tourne à full régime, and Max pose d'huge problèmes aux linemen adverses. Tiens, Gil juega dans la même équipe, je viens juste de m'en bemerken. »
« Le match est terminé, encore une fois nous avons gagné. Les sirènes peuvent partir, les anges accourir. Je suis seul dorénavant, dans notre endroit de prédilection, à attendre. A t'attendre. Mon esprit persiste, mais le corps meurtri dont je suis prisonnier agonise, alors laisse donc ma carcasse endolorie pourrir quelques instants. Ne me réveille que si le devoir m'appelle. En patientant, je suis paisiblement chez moi, chez nous. Calme et tranquille. »
Trêve de blablaterie. Les GeneRous, composés pour l’occasion de Ben-Gil-Gote-Grono-Max-Queue d’Cheval-Thierry, ont pulvérisé leur ennemi de toujours, les Sharks, sur le score sans appel de 55-13. Les GeneRous signent là leur record du nombre de points inscrits lors d’un match, et le 2ème plus gros écart de points. Applaudissons-les à une main.
Le match, comme l’attestent les ressentis de Gote et sa folie suite au crash face à Matt, a été rude. Si rude qu’il trônerait probablement au royaume des matches les plus virils. Néanmoins, la Fédération Pharisienne de Football© sollicite l’attention de Matt concernant les dangers de ses agissements. En effet, elle souhaiterait rappeler que les licenciés, dans la plupart des cas, ne disposent d’aucune protection, ni protège-dents, ni Batarang. Son comportement étant inapproprié et désagréable, il lui est donc demandé de réviser (et non de diminuer) son engagement physique. Merci canard.
Pour finir sur une bonne note, je voudrais souligner un point : la défense des GeneRous. Elle a été excellente, enchaînant harcèlements, pressions et interceptions comme rarement. Pendant 10 minutes, ils ont presque frôlé le nirvana, tant la cohésion de l’équipe défensive sublimait le Field. Un grand bravo à eux, ainsi qu’aux Sharks, qui ont su tout de même ne jamais capituler.
Prochain rendez-vous : vendredi 8 Mai. Les Sharks appellent au sang et au sacrifice. Quant aux GeneRous, ils emmerdent les dieux et ne demandent que le beau jeu.
Stats (approved by FPF©)
Ben – 2 TD, 5 Pass TD, 1/2 FG
Un début en fanfare, des passes précises (malgré une qui fut interceptée), un pied toujours hésitant : le QB a fait tranquillement un match de merde.
Gil – Bloqué 1432 gens
L’autiste de service a bouffé du linemen comme on sniffe une ligne de coke. Marrant, à défaut d’être efficace.
Gote – 1 TD, 1 Inter, 2 Sack, 0/1 FG
2 Touchbacks, mais surtout le record de 2 passes interceptées sur 2 passes tentées, grâce à son brevet déposé du lancer Hélicoptère. Un must.
Grono – 3 TD, 3 Inter, MVP (disapproved by FPF©)
Le retour en forme du Wide Receiver, qui a défendu ‘en spectacular’ sur Matt. Détruit psychologiquement par ses 2 Catch ratés.
Max – 2 TD, 3 Inter, 2 Sack, 2/3 FG
Joueur complet qui fait du bien/du mal par où il passe. N’a aucune autodérision, et déteste la liberté de la presse.
Queue d’Cheval – Forcené de la ligne
Thierry – Chinois polyvalent
Un raton-laveur fouineur est l’auteur des clichés suivants :
"Ah t'es là Ben ?! On te cherchait partout."
"Donc on voudrait rendre hommage à la célèbre photo de Rad et Gil, celle où... putain !!! On était même pas prêt !"
"Non, tu la refais, c’est tout. Et arrête d’essayer de bouffer l’appareil, c’est pas comestible."
"....tu veux pas encore la refaire, on a vraiment des têtes de cons !"
(Après mûre réflexion, c’est plutôt la présence de Max qui fait capoter l'effet)
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